Troisième paradis à Villa Manin

  • Sur place

  • Date
  • Parco di Villa Manin di Passariano

    Piazzale Manin 10, Passariano, Friuli Venezia Giulia, Italy

©villa Manin

Villa Manin accueille l’exposition T3rza Terra-Michelangelo Pistoletto et Cittadellarte à Villa Manin. Une partie intégrante de l’exposition est le Troisième paradis, symbole conçu par Pistoletto pour exprimer l’entrelacement équilibré entre l’artifice et la nature, qui a été réalisé dans le parc de Villa Manin sous forme botanique, à grande échelle (50 mètres)C’est également l’occasion d’aborder les questions qui sont à l’ordre du jour aujourd’hui, à savoir la production agricole et la durabilité alimentaire.

E-mail

bookshop@villamanin.it

Informations

Billets d’entrée Villa Manin : Entier €8,00 Réduit €5,00 (65 ans révolus; enfants de 12 à 18 ans non révolus; étudiants jusqu’à 26 ans non révolus; handicapés) La chapelle Saint-André et le parc peuvent être visités gratuitement

Parco di Villa Manin di Passariano

  • Localisation

    Piazzale Manin 10, Passariano, Friuli Venezia Giulia, Italy

  • Téléphone

    +39 0432 821258

  • À propos

    Propriété des nobles Manin depuis le milieu du XVIe siècle, les latifundia de Passariano devinrent la toile de fond de la magnificence d’une des familles les plus riches d’Europe, décidée à rivaliser avec les plus prestigieuses cours européennes. Après les premières ébauches de François IV Manin (1670), le parc devient à l’époque baroque "Hôtel de la Paix et du Plaisir" (d’un poème de Daniel Florio, 1766) sur des dessins d’un "Jardinier Français" élève de Le Nôtre, le concepteur du parc du château de Versailles, enrichis par le "maître de maison" des Manin, Giovanni Ziborghi : labyrinthes, jeux d’eau, ménageries d’animaux, orangers, glaces souterraines, jardins suspendus, loggias élégantes, modèles de forteresses en font une merveille destinée à émerveiller le voyageur, Goldoni appellera ça "un séjour digne d’un roi". Le vénitien Giannantonio Selva et le frioulan Pietro Quaglia le transformeront d’abord (1809) en géométries des Lumières puis (1863) en romantique "botte" en forme d’Ital